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Lu dans Nice-Matin du 24 aout 2008 :
L’église Sainte-Jeanne-d’Arc sur la voie de la résurrection. L’oeuf sacré couvant le quartier de la Gare du Sud est en chantier depuis plusieurs mois. Hérissé d’échafaudages épousant ses courbes. Il perdait ses coquilles de béton. Érosion. Dégradation. Dehors comme dedans. Il faut tout écaler, tout refaire. Jusqu’aux fresques et sculptures.


Extrait
Autant dire que les 15 000 âmes réunies sous ces ellipsoïdes, autour du père Henri Toche, en ont encore pour des années avant que les travaux de réhabilitation soient terminés : fin 2009 pour l’actuelle première phase, 2010 pour la 2e et 2011 pour la dernière. Un chemin de croix en quelque sorte, mais au bout du labeur, le paradis retrouvé. Car l’audacieuse église ovoïde n’est pas un lieu de culte comme les autres.

« Cette église, à l’architecture unique en France, la première à être construite en béton, a été jugée suffisamment importante pour être classée monument historique en 1992. Donc, protégée par l’Etat. C’est d’ailleurs la seule du genre, à être dans le giron de l’association diocésaine, propriétaire de toutes les églises construites après 1905 », souligne Bernard Damade, économe diocésain.

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