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MUSEE

Le Palais Fesch a rouvert ses portes au public, le 26 juin 2010, après d’importants travaux de rénovation. Construit au xixe siècle au coeur de la ville d’Ajaccio, il accueille un des grands  musées des Beaux-Arts français avec, notamment, la plus vaste collection de peintures italiennes après celle du Louvre, une des plus remarquables séries de portraits de la famille Bonaparte, mais aussi un ensemble unique de peintures corses.

Trois expositions temporaires honorent cette réouverture :  Lucien Bonaparte (1775 – 1840) un homme libre, L’homme au gant de Titien et Le dessin à Florence au temps de Michel-Ange

Extraits du dossier de presse :

Les expositions d’ouverture :

Lucien Bonaparte (1775 – 1840) un homme libre

26 Juin – 27 septembre 2010

C ette exposition est reconnue d’intérêt national par le ministère de la Culture et de la Communication /Direction générale des patrimoines de France / Service des musées et à ce titre a bénéficié d’un soutien financier exceptionnel de l’Etat.

Frère de l’empereur Napoléon et neveu du cardinal Fesch, fondateur du musée, Lucien était  certainement l’un des membres les plus singuliers de la famille Bonaparte. Avec ses nerfs d’acier, il porta son frère sur les marches du pouvoir lors du coup d’état du 18 brumaire. Sous le Consulat, il devint ambassadeur en Espagne puis ministre de l’Intérieur et des Arts.

Il se distingua comme un défenseur des Arts éclairé, vivement intéressé tant par la peinture et la sculpture que par le théâtre, la musique et la littérature. Après sa brouille avec Napoléon en 1804, Lucien quitta Paris pour Rome, où sa vie se déroula selon un rythme plus calme, marqué par les joies de la famille, les plaisirs de l’art, de l’écriture et de l’érudition. Il se consacra alors à ses deux passions, les fouilles archéologiques et sa collection de peintures. Comme la vie de Lucien, l’exposition est divisée en deux parties :

l’une consacrée à sa jeunesse française, l’autre à sa maturité italienne. La première partie, très dense en événements, est ponctuée par des changements rapides, un fourmillement de personnages et la vitalité exceptionnelle de Paris sous le Directoire et le Consulat ; la seconde s’étirant lentement dans la Rome napoléonienne, puis dans celle de la Restauration, que rapproche, au-delà des bouleversements politiques, l’atmosphère hors norme d’une ville rivée au passé et suspendue hors du temps.

L’homme au gant de Titien

26 Juin – 27 septembre 2010

La première exposition-dossier du Palais Fesch, musée des Beaux-Arts, est organisée autour de la restauration du portrait de L’homme au gant de Titien. Le chef-d’oeuvre, issu des collections de Louis Xiv, fut déposé par le musée du Louvre à Ajaccio, en 1956. Pendant de nombreuses années, les visiteurs se sont pressés devant le portrait énigmatique de L’homme au gant, qui aurait été peint par Titien pendant sa jeunesse, avant le célèbre portrait du Louvre. La nécessité d’une restauration et d’une étude a conduit la toile au Centre de Recherche et de Restauration des Musées de France (C2RM F). Les radiographies, rayons X, infrarouges, ultraviolets, et l’étude approfondie de Paul Joannides, professeur à l’université de Cambridge, et plus grand spécialiste de la jeunesse de Titien, ont permis d’effacer les incertitudes sur son attribution. Ce tableau est bien de la main du maître vénitien.

Le retour du tableau sur les cimaises du Palais Fesch sera accompagné de six autres portraits du peintre, dont le Portrait dit « du jeune Anglais » de la Galleria Palatina de Florence et les deux Homme  au gant du Louvre, qui côtoyaient le portrait aujourd’hui à Ajaccio dans les collections de Louis XIV. L’exposition, dirigée par Maria Teresa Caracciolo, directeur de recherche au CNRS et spécialiste de l’art de la fin du xviiie siècle et du début du xixe siècle, est reconnue d’intérêt national par le Ministère de la Culture.

« Di,se,gno ; dessins de Taddeo et Federico Zuccari » et « Le dessin à Florence au temps de Michel-Ange »
24 juin – 27 sept embre 2010

Consécutivement à la collaboration entre le musée Fesch et l’École nationale supérieure des Beaux-Arts en 2007 avec l’exposition temporaire « Di,se,gno ; dessins de Taddeo et Federico Zuccari », les deux institutions ont souhaité renouveler l’expérience autour d’un événement intitulé « Le dessin à Florence au temps de Michel-Ange » afin d’inaugurer le nouveau Cabinet des dessins du musée.

Le public pourra ainsi admirer la magnifique Étude d’homme nu de Michel-Ange, les têtes de femme d’Andrea del Sarto ou encore les feuilles de Jacopo Pontormo et de Francesco Salviati.
Ces dessins célèbres prennent place au milieu de feuilles moins connues qui, grâce aux recherches récentes, ont fait l’objet de nouvelles attributions. L’exposition permet de faire découvrir aux visiteurs les préoccupations des dessinateurs florentins du xvie siècle. La représentation du corps humain, l’anatomie, le portrait et les têtes idéales occupent une place centrale dans ce corpus, sur lequel plane le génie de Michel-Ange.

Informations pratiques

PALAIS FESCH – MUSÉE DES BEAUX-ARTS
• 50-52, rue Fesch 20 000 Ajaccio • Tel : +33 4 95 21 48 17
• Site Internet : www.musee-fesch.com
Conservateur des musées de la Ville d’Ajaccio : Philippe Costamagna
Tarifs : • Plein tarif : 8 € • Tarif réduit : 5 € • Tarif abonnement : 4 € (pour les professionnels du tourisme ayant une convention avec le musée) • C arte de fidélité : 30 €
Le musée est fermé le mardi

Campagnes de restauration

Cette restructuration fut l’occasion de procéder à plusieurs campagnes de restauration, permettant un nouvel accrochage en donnant une place plus importante au département Napoléonien.
Elle a également permis la création d’un département de peintures corses.

La réouverture du Palais Fesch s’accompagne de la présentation de trois expositions temporaires : Lucien Bonaparte, un homme libre, Titien, l’étrange homme au gant et Le dessin à Florence au temps de Michel-Ange, correspondant aux trois types d’expositions qui seront par la suite présentées dans le musée : une grande exposition saisonnière, une exposition dossier et une présentation d’oeuvres sur papier au nouveau cabinet des dessins.

Le Palais Fesch a été construit suivant la volonté du cardinal Fesch, oncle maternel de Napoléon 1er. Le prélat souhaitait créer à Ajaccio, dans le quartier Saint-Roch en bord de mer, un « Institut des Arts et des Sciences » pour éduquer les jeunes Corses.

Le grand coll ectionneur d’art qu’était Joseph Fesch légua à sa ville natale près d’un millier de tableaux, de meubles, d’objets d’art et d’ornements liturgiques. Le palais, commencé en 1828, dont la construction s’est échelonnée par étapes, n’est achevé que sous le Second Empire. Les plans du bâtiment ont été dressés par l’architecte Sylvestre Frasseto. Afin de rendre hommage au bienfaiteur d’Ajaccio, la municipalité dresse en 1854 au centre de la cour la s tatue du cardinal Fesch, oeuvre du sculpteur parisien Vital-Gabriel Dubray.

Jusqu’en 1974, les 843 tableaux sont accrochés selon la mode en vigueur, cadres contre cadres, principalement dans l’actuelle grande galerie, le reste du bâtiment étant occupé par un collège
de jeunes gens, après avoir servi de casernement. Une première campagne de travaux est entreprise dans les années soixante-dix et quatre-vingt et à sa réouverture, le 9 juillet 1990,
l’établissement occupe l’ensemble du bâtiment. La dernière campagne de travaux concerne l’amélioration du confort des visiteurs et la conservation des oeuvres (climatisation).
Un nouveau parcours de visite est également proposé. Enfin, la cour est réaménagée.

Une nouvell e phase de travaux, grâce aux financements européens, de l’État, de la Collectivité Territoriale de Corse et du Conseil Général de Corse-du-Sud, a permis d’achever ce qui a été
entrepris précédemment, d’améliorer les conditions d’accueil (climatisation du bâtiment), de réaménager les réserves, repenser la cour du palais et se réadapter aux nouvelles normes de sécurité.

Afin de lui donner la place qu’il mérite, le département Napoléonien est installé au rez-de-cours. De nouvelles salles d’exposition temporaire et une nouvelle salle polyvalente pour les conférences, colloques et ateliers ont été aménagées au même étage.

Collections permanentes

Les collections du musée des Beaux-Arts d’Ajaccio sont constituées en grande partie du legs du cardinal Joseph Fesch, oncle de l’empereur Napoléon Ier. Par son testament, le cardinal Fesch voulait que soit fondé à Ajaccio un « Grand Institut des Études », nanti d’une collection d’oeuvres d’art. Joseph Bonaparte, comte de Survilliers, contesta le legs ; la ville dût ériger le bâtiment à ses propres frais, mais elle reçut toutefois, provenant des collections du cardinal, approximativement
1 500 objets d’art, une partie du mobilier du cardinal et la statue de Napoléon 1er consul sculptée par Maximilien Laboureur. On ne parle plus donc de legs Fesch, mais de donation Survilliers. La collection du cardinal constitue néanmoins le fonds principal dumusée d’Ajaccio.

Diff érents dons et legs enrichiront par la suite les collections du Palais Fesch, notamment ceux de Félix Baciocchi en 1866, du duc de Trévise en 1892, de Jérôme Napoléon en 1897, de la famille Rothschild en 1889 et 1909, du baron et de la baronneVognsgaard en 1974 et 1992 et de François et Marie-Jeanne Ollandini en 2007 et 2009.

L’État, pour sa part, procède dès 1854 et régulièrement jusqu’en 1973 à des dépôts à la ville d’Ajaccio. Ainsi, le musée Fesch abrite une collection d’oeuvres d’art qui présente une importante collection de peintures italiennes, une collection napoléonienne et une collection de peintures corses.

Collections : Visite du Musée

Au rez-de-cour, le département napoléonien comprend une galerie de sculpture, des bustes de la famille impériale, une salle Fesch, une salle Survilliers et une salle Napoléon III . Au rez-de-marine, le département de peintures corses, qui constitue une véritable découverte pour le visiteur.

Le Palais Fesch présente l’une des plus importantes collections de peintures italiennes des musées de France.  Trois fonds majeurs se détachent plus particulièrement : les Primitifs et les tableaux de la Renaissance, la peinture du XVIIe des différentes écoles italiennes et les peintres actifs à Rome au XVIIIe siècle.

Le fonds des peintures des Primitifs et de la Renaissance ne représente que l’infime partie du rare ensemble que le cardinal avait réuni et dont la dispersion en 1845 transforma profondément le goût des collectionneurs. Néanmoins, les tableaux arrivés en Corse, allant du Maître de Rimini aux peintres du xvie siècle, font d’Ajaccio l’un des rares musées de France pouvant présenter une telle sélection des premiers maîtres de la peinture italienne.

L’ensemble de peintures italiennes du XVIIe siècle présente une sélection de tableaux représentatifs de toutes les écoles de peinture de la Péninsule avec, en particulier, comme dans toutes les collections romaines, un grand nombre de paysages et surtout le plus exceptionnel ensemble de natures mortes visible en France. Étant donné l’origine de la collection, il n’est pas surprenant de trouver à Ajaccio un grand nombre de tableaux peints par les artistes actifs à Rome au cours du xviiie siècle. Ainsi, en se rendant dans les salles du musée, il est possible de découvrir le rôle joué par la ville éternelle. Rome était le lieu de destination d’artistes venus de l’Europe entière afin d’étudier Raphaël et l’Antique, et devenait l’un des principaux lieux de la création artistique et des échanges d’idées. La présentation de l’ensemble de la collection italienne débute au second niveau et continue chronologiquement au niveau inférieur.

La nouvelle section des peintures corses offre une sélection d’oeuvres des chefs de file de l’école de peinture corse  depuis le milieu du xixe siècle, jusqu’à la fin du xxe siècle. Le visiteur pourra découvrir les paysages de Lucien Peri et de François Corbellini, la peinture ethnographique de Charles-Léon Cannicioni ou encore les représentations d’Ajaccio par Jean- Baptiste Bassoul. Cette nouvelle section est située en rez-de-marine.

Depuis 1839, legs et donations ont enrichi le patrimoine napoléonien de la ville d’Ajaccio. La collection du cardinal Fesch constitue le fonds le plus important de représentations de membres de la famille Bonaparte et forme à elle seule une véritable galerie de portraits. L’ensemble napoléonien du Palais Fesch laisse une large part au Premier Empire, à travers des oeuvres peintes, gravées ou sculptées. Le peintre Jacques Sablet y est à l’honneur. Il travailla longtemps au service de Lucien Bonaparte et du cardinal Fesch, les assistant lors de la constitution et de la restauration d’une partie de leur collection. Le portrait de Christine Boyer, première femme de Lucien, et le portrait de Lucien Bonaparte à Plessis-Charmant sont particulièrement remarquables. La collection comprend également de grands portraits de la famille impériale, dont ceux de Napoléon 1er, empereur des Français et Joseph, roi d’Espagne, par le baron François Pascal Simon Gérard.

Cette collection recèle aussi un petit portrait anonyme du Roi de Rome dans le jardin des Tuileries qui se trouvait dans la chambre de Napoléon à Sainte-Hélène. Le Second Empire est également évoqué, avec notamment le portrait de Napoléon III par Alexandre Cabanel et les oeuvres léguées par Jérôme Napoléon, dit Plon-Plon, notamment les grands tableaux d’Horace Vernet et d’Isidore Pils, qui décoraient son appartement au Palais Royal. Cette section est située au rez-de-cour.

La collection du cardinal Fesch fut la dernière des grandes collections formées par un prélat romain, et certainement la plus vaste. Ces collections de prélats sont souvent à l’origine des grandes collections princières, dont les vestiges sont encore visibles dans les palais romains. Certaines de ces collections sont devenues des musées nationaux, comme la Galleria Barberini, la Galleria Spada, la Galleria Corsini ou encore la Villa Borghese. D’autres sont encore propriété des descendants de ces illustres familles, mais sont accessibles au public, parmi lesquelles la Galleria Doria-Pamphily et la Galleria Colonna. Les tableaux étaient aux xviiie et xixe siècles, « cadres contre cadres » sans tenir compte du sujet ou de l’époque du tableau.

Dans la galerie du 1er étage du palais Fesch, les tableaux seront présentés selon ce principe, afin que les visiteurs d’aujourd’hui puissent avoir une évocation de cette forme exceptionnelle d’accrochage.

Souvenirs napoléoniens au Musée et dans Ajaccio

Berceau de la dynastie des Bonaparte, la Ville d’Ajaccio possède un patrimoine napoléonien d’envergure allant de la genèse de la famille au xvie siècle jusqu’à la fin du xxe siècle.

La création de la bibliothèque municipale d’Ajaccio remonte à l’aube du xixe siècle. Ce projet de bibliothèque publ ique est l’idée de Lucien Bonaparte, alors ministre de l’Intérieur du gouvernement consulaire. Il charge André-François Miot, Administrateur de la Corse, d’emporter les 12 310 premiers volumes provenant de diverses congrégations religieuses parisiennes, ainsi que des résidences royales de Meudon et de Marly.

Cet ensemble se compose d’une majorité de livres d’histoire (3 608 ouvrages), mais aussi d’ouvrages littéraires (1 557 ouvrages) et théologiques (1 400 ouvrages). Ces livres sont estampillés « Bibliothèque Nationale du Liamone » et provisoirement entreposés dans l’ancien couvent des Jésuites en attendant la réhabilitation des pièces du Grand Séminaire. L’année de sa fondation, l’institution reçoit 602 volumes supplémentaires provenant du fonds des Capucins et Jésuites de la ville. Cependant, les ouvrages dans un état déplorable sont mis au rebut. Durant le Premier Empire, le fonds de la bibliothèque est enrichi, à la demande du cardinal Fesch, de 1 000 ouvrages fruits des butins de guerre. Déplacée à plusieurs reprises, la collection est entreposée au premier étage de la maison Benielli dès 1806.

Jusqu’en 1827, date à laquelle la collection intègre à nouveau le couvent des Jésuites, les livres sont régulièrement déplacés. Sept ans plus tard, le 13 août 1834, l‘abbé Marchi, natif du village d’Ambiegna (Corse du Sud) et professeur à l’université de Milan, lègue à la ville 1 252 volumes partagés entre littérature, histoire, sciences et arts, ainsi que son oeuvre personnel. Enfin, en 1836, l’ensemble est envoyé à l’Hôtel de Ville nouvellement inauguré.

Le cardinal Fesch dans son testament lègue à sa ville natale 8 091 ouvrages de sa bibliothèque. Cette collection se compose en grande partie de livres de théologie et d’histoire. La grande bibliothèque, oeuvre de l’architecte Jérôme Maglioli, est inaugurée le 22 mai 1865.

La chapelle impériale jouxte le Palais Fesch depuis 1860. Issue de la volonté du cardinal Fesch d’ériger une sépulture familiale à Ajaccio, la chapelle ne sera construite qu’à partir de 1857, grâce à l’impulsion de Napoléon III . L’édifice construit suivant les plans de l’architecte de la couronne Alexis Paccard est décoré par le peintre-architecte ajaccien Jérôme Maglioli. Les dépouilles du cardinal Fesch et de Letizia Bonaparte y sont transférées dès 1860, tandis que celle de Charles
Bonaparte ne les rejoindra qu’en 1951.



Le musée national de la Maison Bonaparte entre dans le giron de l’État en 1923, suite au don du prince Victor Napoléon. La maison qui a vu naître Napoléon devient la propriété des Bonaparte le 20 décembre 1682. Elle sera ensuite agrandie par l’annexion des maisons voisines entre 1773 et 1802.

La statuaire commémorative :
• La statue de Napoléon Bonaparte en habit de consul, provenant des collections du cardinal, par Massimiliano Laboureur se dresse sur la place de l’Hôtel de Ville depuis 1850.
• Le groupe sculpté de la place du Diamant représentant Napoléon et ses quatre frères est réalisé sous la direction de l’architecte Eugène Viollet-le-Duc et inauguré le 25 juin 1865.
• La propriété du Casone est acquise par Joseph Bonaparte le 12 mars 1797, puis rétrocédée au cardinal qui la lègue ensuite à la ville d’Ajaccio. Il faut attendre le 18 mars 1938 pour que la statue
de l’Empereur domine enfin la perspective du cours Grandval. Le monument est inauguré avec faste le 15 août de la même année. Le nombre de rues portant les noms des différents membres de
la famille impériale marque profondément le souvenir que la ville d’Ajaccio entretient vis-à-vis de la famille Bonaparte.


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