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SUR LE PETIT ECRAN

A partir du 17 juillet, France 5 propose de faire la lumière sur le mystère de l' »Expédition La Pérouse », le samedi à 21h35.

En 1788, après trois ans de navigation autour du monde, la Boussole et l’Astrolabe, les deux frégates de l’opération commanditée par le roi Louis XVI, disparaissent dans le Pacifique Sud.
Cette série documentaire en quatre volets, dont deux inédits, propose de suivre les différentes expéditions scientifiques contemporaines, en charge de résoudre les questions qui se posent encore aujourd’hui, sur le sort des survivants au milieu d’une population d’anthropophages.

Samedi 17 juillet à 21h35 :

Le mystère de Vanikoro

En 1785, le roi de France Louis XVI, met en place l’une des plus grandes expéditions du siècle. Son ambition : ouvrir de nouvelles routes maritimes autour du monde. Il confie alors à son meilleur officier naval, La Pérouse, le commandement de cette expédition à la fois diplomatique, économique et scientifique. Après trois ans de voyage, les deux bateaux sombrent dans le sud de l’océan Pacifique ! Combien d’hommes, parmi les deux cents marins et scientifiques engagés à bord des deux vaisseaux royaux, survécurent à ce naufrage ? Où ont-ils pu se réfugier ? Reste-t-il des traces de ce naufrage dans les profondeurs et que peut-on encore sauver pour tenter de raconter cette incroyable odyssée ? Deux siècles plus tard, sur les lieux du naufrage, à deux mille kilomètres du nord de la Nouvelle-Calédonie, une nouvelle expédition est lancée et suivie par ce documentaire.

Les épisodes suivants à venir (ordre non défini)

Portés disparus

C’est de la mer que surgit « La découverte » ! Les restes du squelette presque complet d’un européen que les plongeurs remontent soudain à la surface. Ce mystérieux inconnu est à ce jour le premier et l’unique marin retrouvé de cette expédition royale. Il symbolise désormais la mémoire de tous les scientifiques et marins français disparus lors du naufrage. Une telle découverte relance l’aventure et une formidable enquête policière démarre pour tenter de percer son identité. Après avoir fait l’objet d’une première analyse sur place, les ossements sont ramenés en France et confiés aux spécialistes de l’institut de Recherches Criminelles de la gendarmerie nationale, l’IRCGN. Les premières investigations et les meilleures technologies de construction faciale permettent après quelques semaines de révéler le portrait robot de notre inconnu, jusqu’à sa reconstitution par l’un des rares sculpteurs au monde en paléoanthropologie, Elisabeth Daynes. Mais l’enquête se poursuit, et ce squelette n’a pas fini de livrer tous ses secrets.

Le secret des déferlantes

2005 voit la consécration de toutes ces années de recherches par un nouvel engagement cette fois sans précédent de l’Etat français, et notamment de la marine nationale, qui met à disposition l’un de ses prestigieux bâtiments de la zone Pacifique pour l’ensemble de la durée de la mission : le batral Jacques Cartier. Cette fois, ce sera l’année de l’identification formelle des deux épaves grâce notamment à une inscription découverte sur un instrument de navigation remonté d’une épave. Ce navire dont la violence du naufrage n’a probablement laissé aucune chance de survie à son équipage, est bien celui du capitaine de La Pérouse. Il est donc fort peu probable que s’il était encore vivant à l’instant du choc, il fit partie des survivants. Mais la course contre la montre que présente chaque mission, et une météo particulièrement mauvaise, empêchent les archéologues sous-marins d’achever le chantier, juste au moment où ils atteignent la porte de la chambre du capitaine.

Au-delà d’un naufrage…

Dans cette quête de résoudre ce mystère autour du destin final de la célèbre et mythique « Expédition La Pérouse » disparue en 1788, après trois ans de navigation autour du monde, l’équipe de tournage accompagne en septembre 2008 les chercheurs qui repartent sur les traces des disparus des deux frégates, la Boussole et l’Astrolabe. Une campagne de fouilles de 43 jours sur l’île de Vanikoro (Pacifique Sud) qui réunira deux navires, cinquante-deux membres d’équipage et soixante-dix participants dont près de trente scientifiques et chercheurs. Différents témoignages approfondissent les hypothèses émises sur les suites du naufrage et le sort advenu des rescapés, dans un contexte où les avis restent partagés. Christian Coiffier, ethnologue, spécialiste des populations de cette partie du monde participe au voyage.

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