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TOUR DE FRANCE – CYCILSME – PATRIMOINE HISTORIQUE ET CULTUREL

Mercredi 6 juillet, l’étape du jour mènera les coureurs et (télé)spectateurs de Carhaix au Cap Fréhel. L’occasion de (re) découvrir les principaux trésors du patrimoine qui jalonnent ce parcours de 164,5 km :

A ne pas manquer sur le parcours : Carhaix, Guingamp, Plouha, Saint Brieuc, Erquy, Cap Fréhel

Pour découvrir les détails du parcours, suivez le guide


En finistère

Carhaix

A signaler

Photo ci-contre. L’église paroissiale Saint-Pierre de Plouguer, contient des éléments de style gothique et même renaissance (sa nef romane est prolongée par des travées gothiques). Son porche sud est de style gothique flamboyant, avec une arcade en fer à cheval. Sa sacristie date de 1514. Construite au xie siècle sur l’ancienne paroisse de Plouguer (rattachée en 1956 à la commune de Carhaix), transformée au xvie siècle puis en 1746, elle fut en partie détruite par un incendie le 9 décembre 1923 et sa restauration fut achevée en 1927.

L’église paroissiale Saint-Trémeur, de style néogothique a été reconstruite entre 1881 et 1887 par l´architecte Ernest Le Guerrannic, à l’exception du clocher-porche de style gothique flamboyant plus ancien (1529-1535), construit par l’atelier de Saint-Herbot, à l’emplacement de l’ancienne collégiale Saint-Trémeur construite en 1370 et restée collégiale jusqu’en 1790.

L’ancien couvent des Hospitalières et la chapelle Notre-Dame-de-Grâce. Fondé en 1663 par Anne du Chastel de Kerlech, sa construction fut achevée vers 1698.

Le couvent des Augustins : il n’en subsiste que quelques arcades et un portail. Son cloître a été vendu au Cloisters Museum de New-York en 1930.

Le couvent des Carmes : il n’en subsiste que la façade de l’ancienne chapelle (les services de l’urbanisme de la ville y sont installés).

La chapelle Notre-Dame des Grâces : bien que désaffectée, c’est la seule trace subsistante des religieuses hospitalières chargées de la gestion de l’hôpital Sainte-Anne. La chapelle a été construite en 1663 par Anne du Chastel de Kerlec’h. Un incendie survenu en 1875 a accéléré la ruine ds bâtiments.

La chapelle Sainte-Anne, reconstruite au XIXe siècle dans le style néogothique est le dernier vestige de la « maison des pauvres » fondée en 1478 par Maurice du Méné et qui fut le premier « hôpital » de Carhaix. Cette chapelle a conservé des statues en bois polychrome du xvie siècle (sainte Catherine d’Alexandrie, Vierge à l’Enfant) et du xviie siècle (Christ en croix.

L’aqueduc gallo-romain.

La Maison du Sénéchal (actuellement Office du tourisme), datant du xvie siècle, où siègea Guillaume Guinamant, sénéchal de Carhaix en 1562, député de Carhaix aux États généraux en 1576-1577 à Blois et un des rédacteurs de la nouvelle coutume de Bretagne de 1580 et auteur d’un ouvrage juridique intitulé « Sommaire déclaration que fait le sénéchal de Karhaye de l’usance observée de tous temps au terrouer de Poher pour les détenteurs de tenues à titres convenant franc et congéable ». Elle est classée Monument historique depuis 1922 (façade rue Auguste Brizeux) et 1976 (façade rue Félix Faure).

Le pont de Petit Carhaix : ce pont sur l’Hyères date probablement du xviiie siècle et est à la limite des communes de Carhaix et Plounévézel. Le seigneur de Tymeur enPoullaouen y percevait des droits.

Le pont de Moulin-Meur: situé aussi sur l’Hyères (en aval du précédent), il date également probablement du xviiie siècle et le seigneur de Tymeur y percevait aussi des droits. Ce pont est situé sur l’ancienne voie romaine reliant Vorgium à l’Aber Wrac’h.

La place de la mairie : elle correspond à l’ancienne place des halles. Les halles médiévales en bois qui s’y trouvaient ont été détruites à la fin du xixe siècle. La mairie actuelle date de la décennie 1890.

Le manoir de Kerniguez : la majeure partie du corps du bâtiment principal date du xviiie siècle, mais à l’ouest, un bâtiment du xvie siècle subsiste. Il fut mis à sac pendant lesguerres de la Ligue entre 1590 et 1598.

Le château de Kerampuil : l’actuel château a été construit en 1760 par Charles Robert, comte de Kerampuil, descendant de la famille de Saisy de Kerampuil dont l’un des ancêtres Alain de Kerampuil fut écuyer de Bertrand Duguesclin. Bien national pendant la Révolution française, il fut ensuite restitué à ses anciens propriétaires et la famille le vendit en 1939 pour qu’il serve d’hospice. Il est devenu propriété de la ville de Carhaix en 1999. Sa façade et ses toitures sont inscrits à l’inventaire supplémentaire des Monuments historiques depuis 1965. Gilles de Kerampuil (vers 1530-1578) fut curé de Cléden-Poher et un lettré de son temps.

Le château Rouge (Kastel Ruz) a été construit au début du xxe siècle par l’architecte Le Guerranic pour Constant Lancien, notable carhaisien de l’époque.

La place de la Tour d’Auvergne correspond à l’ancienne place du Champ-de-bataille aménagée en 1760. Une statue en bronze, hommage à Théophile Malo Corret de La Tour d’Auvergne, sculptée par le baron Carlo Marochetti, a été érigée place de la Tour d’Auvergne le 27 juin 1841.

Le manoir de Kerampest faisait partie de l’ancienne trève de Saint-Quijeau en Plouguer. Il n’en subsiste que des vestiges datés du XVIe siècle.

Le monument aux morts, représentant une mère, a été sculpté par René Quillivic.

Carhaix est aussi depuis juillet 1991, le théâtre du Festival des vieilles Charrues

Sur Wikipedia

Sur le net : www.ville-carhaix.compatrimoine.region-bretagne.fr

Plounévézel

La chapelle Sainte-Catherine, dont la construction fut achevée en 1616, est au bord d’une voie romaine qui longe la rivière de l’Hyères qui passe à cet endroit sous un pont médiéval nommé le pont « gaulois ».

L’église Saint-Pierre possède un patrimoine mobilier  digne d’intérêt En savoir plus

Chapelle Sainte-Catherine.

Pont « gaulois » sur l’Hyères.

Sur wikipedia

Sur le net : www.plounevezel.orgpatrimoine.region-bretagne.fr

En Cotes d’Armor

Callac

Callac est connue pour être la capitale de l’épagneul breton, croisement du setter écossais avec le chien local, dit du charbonnier. Un musée « La Maison de l’épagneul breton » a ouvert ses portes au public depuis juillet 2007. Objets, dessins, peintures, photographies, vidéos, film original qui vous transporte par ses images « impressionnistes », racontent cette histoire si particulière de l’épagneul breton et l’inscrivent dans son berceau d’origine, l’Argoat.

A signaler

Ruines de l’église Notre-Dame de Botmel, ancienne église paroissiale de Callac

Pont gallo-romain (ci-contre)

Statue de l’étalon Naous, de la station de Callac, par le sculpteur animalier Georges Lucien Guyot (1958)

Sur wikipedia

Sur le net : www.callac-argoat.fr

La Chapelle-Neuve

Notre-Dame de la Pitié

Sur le net : www.lachapelleneuve56.fr

 

Plougonver

A signaler :

Église Saint-Pierre (xve et xviiie siècle), photoà gauche. L’Eglise Saint-Pierre, datant du XVI et XVIIIe siècle, présente un portail caractéristique de la renaissance bretonne et abrite de nombreuses merveilles En savoir plus

L'ancien presbytère, aujourd'hui mairie de Plougonver

Chapelle Saint-Tugdual (XVe) en savoir plus

Méné Kerespers

L’ancien presbytère, aujourd’hui mairie de Plougonver (photo à droite)

Sur wikipedia

Sur le net : plougonver.free.fr

Gurunhuel

l’église Notre-Dame (1594), agrandie au XVIIIème siècle. Sur l’autel se trouvent plusieurs panneaux en bois du XVIème siècle qui représentent l’Annonciation, la Visitation et l’Adoration. L’église abrite plusieurs statues anciennes dont celles de saint Yves (patron des bretons), de saint Etienne, d’une Vierge et de sainte Marguerite

la chapelle Saint-Fiacre (XIV-XV-XVIIIème siècle). Le clocher mur possède une chambre de cloche surmontée d’une flèche de granite du XVIIIème siècle : la tourelle d’accès se trouve au nord. On y trouve un retable en pierre ainsi que des restes d’anciennes sablières. La chapelle comporte aussi une cheminée du XVIIème siècle

la chapelle Saint-Jean Baptiste le Martyr (XVIème siècle), aujourd’hui en ruines.  Sa construction est attribuée aux Hospitaliers de Saint-Jean de Jérusalem ;

le calvaire du cimetière (XVIème siècle) ;

croix de Kerambellec (1759), de Saint-Bulat (XVIIème siècle), de Saint-Fiacre (XVIIème siècle) ;

la fontaine Saint-Jean et la fontaine de Saint-Fiacre

En savoir plus sur le site InfoBretagne

 Grâces

A signaler

Château de Keranno, xviie siècle. A la fin du XVIIème siècle, le château de Keranno était la plus belle demeure que l’on puisse trouver autour de Guingamp. C’est ainsi qu’en 1691, Jacques II Stuart, roi d’Angleterre en exil, après sa deuxième défaite de la Boyne, en fut l’hôte lors de son passage en cette ville. Le comte d’Artagnan y fut logé dans les mêmes circonstances, en 1717. En savoir plus

L’église Notre-Dame-de-Grâces (1506), œuvre de l’architecte Pierre Bilsic  En savoir plus

La chapelle Saint-Jean de Kergrist d’origine templière ou hospitalière est mentionnée dès 1371, lors du procès de canonisation de Charles de Blois. En savoir plus

 

L’oratoire Saint Yves à Grâces dépendait de la chapelle privative du manoir de Kerrurien.
Il est le seul vestige de cette chapelle qui fut détruite. En savoir plus

Le Château de Keravel, XVIème siècle et remaniée vers 1640 pour sa façade principale. En savoir plus

Le chemin d’observatoire du camellia présente 360 camellias de diverses variétés dans des situations paysagères différentes. En savoir plus

Sur le net :  www.graces.fr

Guimgamp

Intérieur de la chapelle de la Vierge.A signaler

Château de Pierre II, duc de bretgane (XVème siècle). En savoir plus

Château des Salles  En savoir plus

 

 

Basilique Notre-Dame de Bon Secours (XIeXVIe siècle). photo à gauche, chapelle de la Vierge. En savoir plus

La Chapelle saint léonnard En savoir plus

La place du centre et ses maisons à colombage (photo à droite) En savoir plus

Sur le net : fr.wikipedia.org/wiki/Guingamp ; www.ville-guingamp.fr ; www.ot-guingamp.org ; patrick.pichouron.free.fr  ( Histoire et patrimoine)

Le Merzer

Le Merzer, nom breton qui signifie le martyr, tire son nom d’un épisode dramtique qui voudrait qu’au XVème siècle le seigneur de Traou avait donné injustement la mort à une personne. En expiation de son crime, ce gentilhomme fit bâtir une chapelle dédiée à la vierge, reine des martyrs. Cette chapelle fut rebâtie en 1886 pour devenir l’église paroissiale.
Dans l’enclos paroissial, un calvaire du XIVème ou XVème porte un Christ particulier vêtu d’une robe.
Près du calvaire, un if majestueux du même âge continue à lui donner ombrage. Des quatre chapelles répertoriées au XVème siècle seule celle de St-Yves (propriété privée entre Le Merzer et Pommerit) subsiste, entourée de marronniers

A signaler

L’église Notre-Dame des Sept-Douleurs (1885). Œuvre de l’architecte Le Guerrannic.

le manoir de Traou (XV-XVIe siècle) est bâti par la famille Le Bœuf (ou Le Beuf) à partir des années 1420, classé au titre des monuments historiques.

la chapelle Saint-Yves de Trohubert (XVIe siècle). Restaurée aux XVIII et XIXe siècles, inscrite au titre des monuments historiques.

le manoir de Trohubert (XV-XVIe siècle).

l’ancien presbytère (1783).

les fontaines de Bonne-Fontaines, de la Vierge et de Saint-Yves.

la chapelle du Paradis

Sur le net : www.cc-lanvollon-plouha.com ; fr.wikipedia.org/wiki/Le_Merzer

Goudelin

La chapelle Notre-Dame-de-l’Isle

À l’intérieur se trouve le gisant de Marie de Goudelin. et trois tableaux du peintre briochin Raphaël Donguy, peints en 1859: L’AnnonciationDescente de la Croix encadré par deux angesLe Couronnemnt de la Vierge. La chapelle est classée monument historique par arrêté du 20 janvier 1913

Sur le net :  http://www.goudelin.fr/index.html ; http://fr.wikipedia.org/wiki/Goudelin

Plouha

A signaler

 La chapelle de Kermaria an Iskuit du xiiie siècle offrant une représentation murale du Dit des trois morts et des trois vifs et l’une des deux fresques bretonnes montrant une Danse macabre. La chapelle est classée au titre des Monuments historiques.
L’église de Plouha, ou l’église Saint-Pierre (1857-1872), édifiée sur les plans d’Alphonse Guépin à l’emplacement de l’ancienne église.

La chapelle de Sainte Eugénie dédiée à Sainte Twina, invoquée pour les grossesses et éponyme de la sainte galloise Twynen.

La chapelle Saint-Jean

La chapelle Saint-Samson

La chapelle Saint-Laurent des sept chemins

La chapelle Notre-Dame de Kérégal

La chapelle de la Trinité Jean

La chapelle du Lizandré

La chapelle du Kerdreux

Plusieurs croix et calvaires, dont la croix de la Sauraie classé/inscrit au titre des Monuments historiques et la croix du Run, inscrite au titre des Monuments historiques.

Le château de Lysandré, xviiie siècle, extérieur visitable toute l’année sur rendez-vous. Chapelle, Orangerie et parc créé au xviiie siècle, inscrit au titre des Monuments historiques.

Le Domaine de Keravel qui appartint un temps au peintre Paul Chardin

Le port de Gwin Segal et son îlot, où les bouées de mouillage habituelles sont remplacées par des troncs d’arbres plantés dans le sol marin.

Le Palus, station balnéaire avec sa plage, sa grève, ses marais, ses falaises et son cordon littoral.

Bréhec, la station balnéaire des paimpolais.

Les blockhaus et abris à munition de Bréhec.

La casemate ou batterie de Beg Hastel

La plage de Porz Moguer, sa demi lune et son quai en granit rose

photo à gauche La plage Bonaparte : haut-lieu de la résistance durant la Seconde Guerre mondiale, le réseau Shelburn9 l’a utilisée pour permettre à de nombreux pilotes de la RAF de regagner la Grande-Bretagne.

La maison d’Alphonse incendiée par les russes blancs.

Le sentier Shelburn utilisé lors des évasions.

La Vallée Verte

Les reste des nombreux moulins à vents, à eau de la commune.

Les lavoirs, pressoirs et rouoirs.

L’Usine, ancienne manufacture de pinceaux.

Sur le net : mairieplouha.wordpress.com ;  fr.wikipedia.org/wiki/Plouha

Binic

L'avant-port de Binic à marée basseBinic, de par son histoire est riche en monuments et lieux touristiques. Pour retracer son histoire, le Musée des traditions populaires regorge d’objets de la vie quotidienne, d’ instruments de pêche ou de vêtements traditionnels.

A signaler :

L’église de Binic s’appelle Notre-Dame de Bon Voyage. Sa construction a été décidée à la place de l’ancienne Chapelle Saint-Julien après l’instauration de Binic comme commune indépendante d’Étables-sur-Mer en 1821.

la Chapelle Saint-Gilles dans le quartier de la ville-Jacob, où a lieu une procession chaque premier dimanche de septembre.

La chapelle privée Sainte-Anne est située Rue de la Griselle.

Très beau cimetière, sur les hauteurs,  où se trouve des monuments intéressants et insolites : La chapelle des Verry-Carfantan, famille d’armateur de Binic ; L’enclos de la famille Le Saulnier de Saint-Jouan ; L’enclos de la famille Le Suavé, Galerne, Le Noan, Petitjean ; L’enclos de la famille Besnier-Guilloux ; Les stèles de Louis, Samuel et Ange Fichet des Grèves, dont la tradition rapporte qu’ils étaient enterrés debout ; La tombe de L. Marie qui porte un crâne et deux tibias, sans doute pour rappeler que, quelle que soit la notoriété du défunt, les hommes sont égaux devant la mort ; Le monument funéraire insolite de Yoko Tani.

Sur le net :  www.ville-binic.fr ;  fr.wikipedia.org/wiki/Binic

Pordic

Le viaduc du Parfond du GouëtCommune côtière, Pordic est réputée pour la beauté et le caractère encore sauvage de sa côte à falaises. Longée par le sentier des douaniers celle-ci offre en permanence des vues superbes sur l’ensemble de la baie de St Brieuc, de Paimpol au cap Fréhel.

A signaler :

La chapelle du Vaudic (fin du 14e et 17e)

Le manoir du Pré-Créhant (16e)

Les vestiges du Corps de Garde, à la pointe de Pordic

Le pont de Percée (vallée du parfond du Gouet), témoin de la voie ferrée St Brieuc-Paimpol, construit par Harel de la Noë.

Sur le net : www.pordic.fr ;   http://fr.wikipedia.org/wiki/Pordic

Saint-Brieuc

La ville tient son nom du moine Brieuc, son fondateur. Arrivé du Ceredigion (actuel Pays de Galles) Saint Brieuc est un des sept saints fondateurs de la Bretagne.

La cathédrale fut construite du XIIIème au XVIIIème siècle (évêques de la ville). Elle servit de place forte, la ville n’ayant jamais été entourée de remparts. La cathédrale actuelle, de style gothique, a été construite du xiiie au xviiie siècle. Certaines reliques de saint Brieuc lui-même, datant du vie siècle, y sont conservées. Elle a été construite sur un marécage avec des piliers en bois. Elle fait l’objet d’un classement au titre des monuments historiques depuis le 10 octobre 1907.

  • La fontaine Notre-Dame du xve siècle
  • La basilique Notre Dame d’Espérance (1854 – 1877)L’église Saint-Michel (1837 – 1841), première paroisse historique de Saint-Brieuc.Le Nouveau Séminaire à Cesson (Art Déco)L’église Saint-Guillaume (1852 – 1856)L’église Saint-Anne de Robien: construite entre (1908 – 1910) par l’architecte Courcoux. Elle était destinée aux ouvriers des forges.L’église Saint-Yves: construite en 1965 par l’architecte Louis Arretche. Ses vitraux sont de Jean-Pierre Le Bihan, de Quimper.

    La Tour de Cesson domine l’estuaire du Gouët et la baie de Saint-Brieuc. Elle fut édifiée en 1395 sur ordre du duc de Bretagne Jean IV de Montfort. Construite à près de 70 m de hauteur sur un éperon rocheux dominant la baie, la Tour de Cesson est un site historique et archéologique. Cet emplacement stratégique est choisi afin de protéger l’embouchure du Gouët et la ville de Saint-Brieuc des attaques des pirates et d’éventuels agresseurs. Les ruines de la tour de Cesson sont classées Monument historique depuis 1926.

    Le théâtre à l’italienne, place de la poste, dont les bas-reliefs en façade d’attique sont de Paul Marie Guibé

    Le musée d’art et d’histoire, installé depuis 1986 dans les locaux de l’ancienne gendarmerie propose son exposition permanente et une aile d’exposition temporaire.

    La mairie

    La caisse d’épargne, rue de Rohan 1909

    La gare, construite en 1863

    L’ancienne gare routière, le viaduc de Toupin (architecte Louis Auguste Harel de la Noë)

    Le tribunal construit par Alphonse Guépin en 1863

    la villa de Roannec’h (1910) et son parc

    L’ancien magasin « Les Nouvelles Galeries », place du Guesclin

    L’immeuble de l’ancienne « Imprimerie Prud’homme », place du général de Gaulle

    Les rues piétonnes

    Les maisons en pans de bois, notamment rue Fardel, place au Lin, rue Pohel, rue Quinquaine et rue de Gouët (Hôtel dit des Ducs de Bretagne, 1572 ; maisons de la Barrière et Le Ribault, XVIe s.) (photo à droite)

    L’Hôtel de Bellescize (XVIIe s.)

    tour de l’Hôtel du Saint-Esprit (XVe s.)

    Sur le net :  www.saint-brieuc.frfr.wikipedia.org/wiki/Saint-Brieuc ; www.baiedesaintbrieuc.com ;  www.reservebaiedesaintbrieuc.com

     Yffiniac

    A signaler :

    Chapelle Saint-Laurent des Sept Saints : En grande partie reconstruite en 1850 et totalement restaurée en 1986, cet édifice constitue actuellement le principal patrimoine architectural et historique. Le chœur et le transept, en forme de croix latine, sont les seuls vestiges de l’ancienne chapelle, datant de 1681.

    Mairie  (1911);

    Four à pain de Caudan.

    Sites naturels : Le petit étang de l’hippodrome, la vallée de l’Urne, le ruisseau de la Touche et, côté mer, le fond de la Baie, Yffiniac possédant une portion de cette vaste étendue sablo-vaseuse, entre terre et mer.

    Sur le net : http://www.yffiniac.com/;  fr.wikipedia.org/wiki/Yffiniac

    Hillion

    A signaler :

    Le Colombier

    Le viaduc des Pont-Neufs

    Le Pont-Roland

    L’église Saint-Jean-Baptiste

    L’ancienne église paroissiale Saint-Ronan, à Saint-René

    La Croix de Bonabry (photo à gauche)

    Le Calvaire

    Le menhir de Carquitté

    La fontaine Saint-Maur

    La chapelle Saint-Laurent

    La centrale hydroélectrique et le barrage du Pont-Rolland

    Les châteaux de Bonabry, des Marais et des Aubiers

    La chaussée romaine des Ponts-Neufs

    le manoir de Licantois

    Sur le net :   fr.wikipedia.org/wiki/Hillion ; archives.cotesdarmor.fr/ (inventaire)

    Planguenoual

    A signaler :

    La ferme du Laboureur, ouverte au public l’été,  présente les anciennes techniques de l’agriculture

    Domaine du Val, xve siècle, Chateau Hotel Restaurant près de la mer et isolée dans une forêt verdoyante.

    Pigeonnier du Vaujoyeux, xvie siècle, visitable toute l’année, classé au titre des Monuments historiques depuis 1982. Il est de plan carré flanqué de quatre absidioles.

    Manoir de la Ville-Méen

    Sur le net : www.planguenoual.fr  ; http://fr.wikipedia.org/wiki/Planguenoual

    Pléneuf-Val-André

    A signaler :

    Le port de Dahouët a beaucoup contribué à la prospérité de Pléneuf ; il participe actuellement avec son patrimoine, ses quelques commerces et ses capacités portuaires à l’attrait touristique de la commune ;

    La Motte Meurdel : au milieu des habitations du bourg, elle est constituée d’une alternance de couches d’argile et vase marine, son origine demeure obscure.

    Manoir de Vauclair: Datant de la première partie du xvie siècle, il subit des remaniements au xixe siècle. Cette bâtisse est de plan rectangulaire, à deux pièces par étage, séparé par un mur de refend, construit en granit. La tour, hors-d’œuvre est chapeautée d’un toit conique. La façade posséde une lucarne à appui saillant mouluré et gâble ornés d’un écusson et de léopards. La porte en plein cintre. L’intérieur est orné de peintures et de fresques ayant fait l’objet pour les œuvres de 5 d’entre elles d’une restauration par l’artiste peintre et restaurateur d’art: Alain Plesse, en 2009

    Manoir de Bellevue

    Eglise Saint-Pierre et Saint-Paul, église paroissiale de l’architecte Le Guerrannic réalisée entre 1889 et 1897

    Presbytère, construction de 1767, agrandi en 1833, dans le jardin, une croix redentée du xve siècle, portant un décor sculpté en demi-relief. Sur le mur de cette maison: les vestiges du gisant de Jacques II Du Guémadeuc, datant du début du xvie siècle, composés d’un buste et d’un fragment de dalle.

    Le Moulin du Tertre Oro : moulin à vent maintenant sans ses ailes, visible de loin dans la partie sud de la commune ;

    Le viaduc du Préto, détruit en 1968 ;

    La Villa Les Pommiers, propriété privée sise avenue Jean-Richepin, est labellisée « Patrimoine du XXe siècle » et inscrite partiellement en 1995 au titre des Monuments historiques;

    Un cairn à trois dolmens, dit du tertre de la Ville-Pichard, classé en 1965 au titre des Monuments historiques

    Sur le net : www.pleneuf-val-andre.fr ; www.val-andre.org ; fr.wikipedia.org/

    Erquy

    Le port d’Erquy qui abrite une flottille d’environ 80 chalutiers est connu comme la “capitale” de la coquille Saint-Jacques pêchée dans la baie de Saint-Brieuc.

    A signaler :

    Chateau de Bienassis

    Le Château de Bienassis (xve ‑ xviie siècle), classement au titre des monuments historiques depuis le 29 août 1945.

    Erquy, Corps de GardeLe four à boulets a été construit en 1794 à la demande du Ministre de la Marine. Il a été façonné avec la pierre trouvée sur place, sauf pour la voûte dont les briques ont été acheminées des poteries de Lamballe. Le but était de porter à incandescence des boulets qui alimentaient une batterie de 3 canons afin de les propulser sur les navires (en bois à l’époque) pour les incendier. D’où l’expression « tirer à boulets rouges ». La préparation du foyer, le temps de chauffe et la fumée produite se sont avérés incompatibles avec la nécessité de rapidité de l’action. Le dispositif n’a jamais rempli sa mission. D’ailleurs, peu de fours à boulets ont été construits en Bretagne. Il n’en reste plus que quatre dans la région : au Cap d’Erquy, au Fort la Latte, à la pointe du Roselier à Plérin et à Camaret dans le Finistère.

    Erquy, Chapelle Saint Michel Le corps de garde des Trois pierres ; Construit vers 1744, il a participé à un vaste système défensif initié par Louis XVI sur le littoral breton.

    L’abri du canot de sauvetage Il a été utilisé entre 1935 et 1966. Depuis 1990, c’est la vedette Plancoët (SNS 238), basée dans le port, qui assure le sauvetage en mer.

    Le phare, inauguré en 1900, a marqué l’achèvement du môle construit à l’époque où le port d’Erquy était un port de commerce important (transport de productions agricoles et de pavés de grès rose).

    l’Église Saint Pierre et Saint Paul

    la Chapelle des Marins,

    la Chapelle Saint-Pabu

    la Chapelle Saint-Michel.

    Sur le net : fr.wikipedia.org/wiki/Erquy ; www.ville-erquy.com ; archives.cotesdarmor.fr

    Sables-d’or-les-Pins

    A signaler

    La grande place face à la plage avec en arrière plan un des bâtiments de la Belle Époque

    Sur le net : www.sablesdorlespins.com ; fr.wikipedia.org/wiki/Sables-d’Or-les-Pins

    Cap Fréhel

    Le cap Fréhel (réserve ornithologique) compte parmi les plus impressionnants de Bretagne : la falaise domine la mer d’environ 70 mètres. Un sentier entre les bruyères et les ajoncs, intégré au GR 34, fait le tour du cap. Par temps clair on peut distinguer les îles Anglo-Normandes de Jersey .

    Le vieux phare (ou tour Vauban), en granite, fut construit sous Louis XIV en 1701 par un des disciple de Vauban, Jean-Siméon Garangeau (1647-1741),  Le phare actuel, reconstruit à partir de 1946 sera inauguré en 1950 : Par temps clair, son feu est visible à plus de 100 kilomètres .

    Image illustrative de l'article Fort-la-LatteA signaler

    Anciennement la Roche-Gouyon, le château de Fort-la-Latte, situé à la pointe du même nom, en face du cap Fréhel dans le département des Côtes-d’Armor, est l’un des plus célèbres châteaux bretons. Remarquable par sa situation sur un cap rocheux, face à la mer, il a servi de décor à de nombreux films. Il fait l’objet d’un classement au titre des monuments historiques depuis le 11 août 1925

    Sur le net : fr.wikipedia.org ;  www.paysdefrehel.com/ www.castlelalatte.com ;  patrimoine.region-bretagne.fr ; fr.wikipedia.org/wiki/Fort-la-Latte

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