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TOUR DE FRANCE – PATRIMOINE HISTORIQUE ET CULTUREL

Mercredi 14 juillet, l’étape du jour mènera les coureurs et (télé)spectateurs de Chambéry à Gap.L’occasion de (re)découvrir les principaux trésors du patrimoine qui jalonnent ce parcours de 179 km

Chambéry (Savoie)

Découvrir Chambéry en images

La crypte de Lémenc : Le plus ancien vestige antique à Chambéry est l’église Saint-Pierre de Lémenc, en grande partie du xve siècle, mais qui abrite une crypte plus ancienne. Sa date et sa destination sont très mal connues. Une rotonde composée de six colonnes remarquables aurait peut-être servie de reliquaire monumental ou de baptistère. Les archéologues ne sont pas d’accord sur sa datation (IXe ou xie siècle).

Le cimetière voisin abrite les corps de plusieurs célébrités chambériennes, telles que le comte Benoît de Boigne ou encore Mme de Warens l’amie intime du philosophe Jean-Jacques Rousseau.

Le château des ducs de Savoie : Il est l’ancienne résidence des comtes et ducs de Savoie. Il abrite aujourd’hui la préfecture et le conseil général. C’est un ensemble de bâtiments datant du Moyen Âge au xxe siècle. Il se compose notamment de trois tours construites aux xive et xve siècles, de dépendances médiévales et d’un grand corps de logis des xviiie et xixe siècles édifié à la place des anciens appartements des comtes. Dans son enceinte se trouve la Sainte-Chapelle (1408-1430), qui a abrité de 1453 à 1578 le Saint-Suaire, avant qu’il soit transféré à Turin, pour suivre le changement de capitale des États de Savoie. À l’intérieur on y admire de remarquables vitraux du xvie siècle, restaurés en 2002. La façade, réalisée au xviie siècle, est un chef d’œuvre baroque de l’architecte turinois Amedeo di Castellamonte. Dans le clocher (ou tour Yolande), est installé le Grand carillon qui sonne de ses 70 cloches. Œuvre de la fonderie Paccard à Sévrier, c’est le quatrième plus grand carillon au monde et le premier d’Europe. Un concert a lieu les premier et troisième samedis de chaque mois à 17h30.

La cathédrale Saint-François-de-Sales : Ancienne chapelle franciscaine édifiée au xve siècle, elle est devenue cathédrale en 1779, lors de la création de l’évêché de Chambéry, puis métropole en 1817, lors de sa transformation en archevêché. Elle abrite le plus vaste ensemble de peinture en trompe-l’œil d’Europe (1835), ainsi qu’un diptyque en ivoire du xiie siècle d’inspiration byzantine.
La vieille ville : Elle est composée d’un grand nombre d’anciens hôtels de la noblesse savoyarde. À la fin du xve siècle, les familles nobles ont entrepris la démolition des vieilles bicoques de bois et de torchis et ont bâti des maisons en bonnes pierres qui ont pris plus tard le nom « d’hôtel », là où le maître de maison reçoit ses hôtes. Les demeures des xve et xvie siècles sont nombreuses, même si leurs façades ont pour la plupart été redessinées à partir du xviiie siècle (rue Basse-du-Château, rue Juiverie, rue Croix-d’Or…). Très empreints de l’héritage médiéval, les premiers hôtels s’organisent autour d’une cour le plus souvent fermée dans laquelle se trouve une tourelle hors-œuvre ou en demi-hors-œuvre, contenant un escalier en vis. Un arc en accolade ou en anse de panier surmonte fréquemment la porte d’entrée. La Renaissance italienne y laisse sa marque : des galeries ou loggias relient les différents corps de bâtiment, les allées intérieures sont nombreuses, des arcades bordent quelquefois la cour

À l’avènement de la période baroque (xviie et xviiie siècles) de nombreuses familles nobles, comme les Costa de Beauregard ou les Castagnery de Châteauneuf vont entreprendre, dans le tissu médiéval de la cité, la construction d’hôtels particuliers. Le Château de Caramagne : Cette propriété privée est un des plus remarquables exemples conservés de nos jours. Au nord de la ville, à proximité du nouveau quartier de Chambéry-le-Haut et dans un environnement où la campagne tend à disparaître chaque jour un peu plus, le domaine de Caramagne donne des allures italiennes aux environs de Chambéry. Une imposante entrée, entourée de communs en hémicycle, ouvre sur une grande allée de platanes. Celle-ci conduit à cette demeure au décor en trompe-l’œil. Des colonnes de marbre soutiennent la loggia dans le goût des palais italiens. Les peintures à la détrempe présentent une perspective de fausses colonnes. Aux extrémités de la loggia, deux groupes imitant la sculpture figurent l’enlèvement de Déjanire par le centaure Nessus, à gauche, et l’enlèvement d’Europe par Jupiter. L’origine de cette vieille maison est beaucoup plus ancienne que ne le laisse supposer la décoration. Le juriste Bernadino Becchi, né dans le petit village de Caramagne (Piémont), en était le bâtisseur au xvie siècle. La propriété passa ensuite à la famille des Bertrand de la Pérouse, puis à Frédéric de Bellegarde en 1783. La décoration du grand salon (finxviiie siècle) comme celle des façades (début xixe siècle) aurait été réalisée à l’époque de ce propriétaire, par des artistes piémontais mais dont les noms sont inconnus. En 1812, un ancien militaire, Joseph Gillet, prend possession de la maison, mais la loue en 1820 à la marquise de La Pierre, une anglaise mariée à un Chambérien, et à une de ses compatriotes, madame Birch. Le poète Alphonse de Lamartine rencontre en 1819 la fille de celle-ci. Un an plus tard, ils s’unissent. Le grand salon – orné de décors en stuc – demeure célèbre de par le contrat de mariage signé le 25 mai 1820.

Dans le style baroque est construit également l’église Notre-Dame, du xviie siècle, qui est l’ancienne chapelle des jésuites de Chambéry. Les plans sont dus à Étienne Martellange, architecte notamment de l’église Saint-Paul-Saint-Louis à Paris

La rue de Boigne bordée de portiques à la mode turinoise, a été percée entre 1824 et 1830 grâce aux libéralités du général de Boigne, urbaniste revenant dans sa ville natale. Cette artère, « percée en coup de sabre », apporte dans le Chambéry romantique d’alors une salutaire aération de l’espace urbain, malgré la disparition de bâtiments historiques sans doute du plus haut intérêt, comme les anciens hôtels des Buttet, la Chavanne et Lescheraine… Cette nouvelle voie devient très vite le centre mondain de la ville où s’installent les familles de notables, mais aussi les commerces de luxe, les salons de thé… Stendhal écrit en 1837 dans les Mémoires d’un touriste : « … Un lieu aussi commode devient bientôt le rendez-vous de tout ce qui s’ennuie et veut se distraire un jour de pluie ; il s’y établit des cafés, des boutiques de luxe, des cabinets littéraires, où l’on va passer une heure ou deux quand il fait une bise noire et qu’on s’ennuie chez soi… Il pleuvait aujourd’hui. J’ai passé toute ma journée sous les portiques de la belle rue de Chambéry. Je pensais à la douce Italie… »

La fontaine des éléphants : Cette fontaine est le monument le plus célèbre de Chambéry; il a été érigé en 1838 par le sculpteur grenoblois Pierre-Victor Sappey1 qui commémore les exploits en Inde des marathes du Comte de Boigne (1751-1830). Après la mort de Benoît de Boigne en 1831, la Ville de Chambéry décide d’élever un monument pour perpétuer le souvenir et les bienfaits de l’illustre personnage. Le Conseil de Ville a porté son choix sur le projet du Grenoblois Pierre-Victor Sappey, pour son originalité et son faible coût. Ce monument est inauguré le 10 décembre 1838. L’ensemble, haut de 17,65 mètres, est une habile superposition de trois monuments : une fontaine, une colonne et une statue. La fontaine présente dans son plan la croix de Savoie. Quatre éléphants réunis par la croupe, d’où le surnom populaire de « Quatre sans cul »137, réalisés en fonte de fer, jettent l’eau par la trompe dans un bassin de forme octogonale. Ils portent chacun une tour de combat surmontée d’un bas-relief ou d’une inscription. Au-dessus se trouvent une grande variété de trophées : « Des armes persanes, mogholes, indoues ; divers objets rappelant les mœurs, les arts et la civilisation des peuples que le général de Boigne a combattus ou gouvernés, composent les trophées ». La grande colonne est symbolisée par un tronc de palmier, elle porte en son sommet la statue du Général. Il est représenté avec le costume de lieutenant général de SM le roi de Sardaigne.

Le théâtre Charles Dullin : Ce théâtre porte le nom du comédien savoyard Charles Dullin depuis 1949. Il est construit à partir de 1824 grâce à une donation du Comte de Boigne. Il est inauguré en 1828. Incendié en 1864 (ce qui entraîna la perte d’une partie des archives municipales, stockés dans les combles), il est reconstruit de 1864 à 1866 sur le modèle de la Scala de Milan. Le rideau de scène, peint par Louis Vacca, représente la descente aux Enfers d’Orphée ; seul rescapé de l’incendie en 1864, il est inscrit à l’inventaire des monuments historiques.

Chambéry possède beaucoup de statues, la plupart installées à la fin du xixe siècle siècle lors de la « guerre des statues », où à renfort de souscriptions publiques et de campagne de presse, des hommes politiques et notables républicains ou conservateurs érigeaient des monuments à forte portée symbolique : La statue la Sasson (qui signifie Grosse femme en savoyard) est un monument du sculpteur Alexandre Falguière installée en 1892 pour commémorer un premier rattachement de la Savoie à la France qui eut lieu au moment de la Révolution en 1792. Elle fut confisquée et déboulonnée par les Allemands sous la Seconde Guerre mondiale, on la retrouva décapitée dans une gare en Allemagne et elle retrouva sa place dans la ville après réparations en 1983. La statue des frères Joseph et Xavier de Maistre, respectivement philosophe et écrivain, par le sculpteur Ernest Henri Dubois, intallée en 1899, près du château et qui eût une histoire mouvementée. La statue de Jean-Jacques Rousseau au jardin public du clos Savoiroux, qui le représente en promenade champêtre, dressé sur un rocher, face à la ville.

La rotonde SNCF : La rotonde du dépôt de la gare SNCF, inspirée de l’architecture de Gustave Eiffel et construite en 1906, a été inscrite à l’Inventaire supplémentaire des monuments historiques en 1984

Les Halles de Chambéry : Il s’agit d’un exemple d’architecture en béton, réalisées par les architectes Pierre et Raymond Bourdeix. La particularité de la structure est de présenter à l’intérieur du marché couvert une dalle supportée par des poutres de grande portée avec des jambes de force en béton armé (système Hennebique), sans aucun point d’appui intermédiaire. Le marché couvert et le marché de plein air s’y tiennent deux fois par semaine. Les Halles ont fait l’objet d’un concours d’architecture pour la réalisation d’un centre commercial moderne. Le projet choisi permettra de mettre en valeur la structure existante, et sa réalisation sera achevée en 2010

Les anciennes archives départementales : ce bâtiment a été construit en 1936 et conçu par l’architecte Roger Pétriaux. Celui-ci était destiné à abriter l’ensemble des archives départementales, d’où son nom. Il a été transformé en bureaux pour certains services du Conseil général

Chambéry sur wikipedia / office de tourisme

Saint-Baldoph (Savoie)

L’église a été remaniée à plusieurs reprises. Le portail constitue l’unique vestige du bâtiment du 13ème s., conservé dans la façade du 17ème s.

Croix de chemin On compte actuellement une dizaine de croix de chemin sur le territoire de Saint-Baldoph. D’une grande simplicité, elles sont généralement en pierre de taille calcaire, en bois et parfois en fonte moulée ou en ferronnerie.

Au lieu-dit “les Lamettes”, un bâtiment massif se distingue par son volume et son emplacement dominant. Au début du 18ème s., il appartient aux religieuses de la Visitation de Chambéry, mais son origine est vraisemblablement plus ancienne : la partie nord de cette maison pourrait dater de l’époque moderne (possible 16ème s.).

Plus loin, au lieu-dit “les Cours”, une bâtisse imposante, qui surplombe les vignes et le village, présente encore quelques ouvertures anciennes (fenêtres à meneau et à traverse). Elle aurait appartenu au marquis d’Arvillard, mais en 1730 le bâtiment est une propriété ecclésiastique (cure de Saint-Baldoph).

En 1884, la mairie est construite sur son emplacement actuel, selon un plan rectangulaire et symétrique, assez représentatif des édifices publics de la 3ème République.

En savoir plus sur le patrimoine naturel et bâti de Saint-Baldoph<

Apremont (Savoie)

La cascade du Pichut Le Nant du Rousselet prend sa source au Mont Joigny et a creusé son lit dans les calcaires et marnocalcaires du Crétacé inférieur constituant les falaises qui l’enserrent et créant une succession de cascades. La cascade du Pichut mesure 30 mètres de haut et 15 mètres de large.Elle fait partie de la ZNIEFF (Zone Naturelle d’Intérêt Ecologique, Faunistique et Floristique) qui compte 180 hectares classés sur Apremont.

Le Château d’Apremont Ce château féodal- élément de la ligne de défense contre le Dauphiné- fut le plus important domaine seigneurial des environs de Chambéry

Apremont sur wikipedia

Chapareillan (Savoie)

Église désaffectée de la Ville (le Vieux Clocher)

Église de Bellecombe Église « moderne » (construction entreprise à la fin du XIXe siècle)
Oratoire de la Salette Deux oratoires entre Bellecombe et St-Marcel (route départementale et chemin de la Martine); Nombreuses croix (carrefours, cimetières)
Place de la mairieRuines du château de Bellecombe. Une table d’orientation a été installée, décrivant un panorama à 180° sur la chaîne des Bauges, le Mont-Blanc et la chaîne de Belledonne.
Château de Hauterive Château de Pizançon (« la grande maison ») en ville
Place de la mairie (ci-contre à gauche) Maisons anciennes, plus particulièrement en ville
Moulins (les Girards, Pont-Royal, Saint-Martin)
Ancienne usine d’obus contruite en 100 jours durant la guerre de 1914-1918 (Servette, le Ateliers du Granier)
les vieux celliers dans le vignoble; Fermes et granges
Vieux ponts sur l’ancien réseau routier (Montfollet, la Saïta, le Villard de la Palud)
Les bornes délimitant l’ancienne frontière entre la France et la Savoie province du royaume de Piémont-Sardaigne jusqu’en 1860.
Chapareillan sur wikipedia


La Buissière (Isère)

Église du XIXe siècle (néo-gothique)

Le château de La Buissière défendait l’accés vers Grenoble depuis la rive droite de l’Isère.   Son importance diminuera à la fin du XIIIe siècle quand Bellecombe deviendra Dauphinois.

La forteresse (surnommée Château Dauphin) est située sur une colline dominant le hameau de « La Ville », ancien bourg fortifié.

Le bourg fut ceinturé d’une deuxième enceinte au début du XIVe siècle, qui était percée de 3 portes dont la porte du Midi, en direction de Grenoble. ( Source Atelier des dauphins)

Goncelin (Isère)

En 1080, Goncelin est citée pour la première fois en tant que communauté, lors de la restitution faite par Bernard et Pierre Moretel, de l’église de Goncelinum avec son cimetière.
chateauLe château de Goncelin a été construit au XIIIème siècle, il a été préservé de la Révolution, il a plusieurs destinations. Il a servi de première brigade de gendarmerie montée installée dans le « Graisivaudan » par Bonaparte 1er pour récupérer les déserteurs., entre les guerres, il a ensuite servi d’école, de pension de famille, de logement pour travailleur immigrés avant de devenir un lieu de gastronomie régionale. (photo du château ci-contre)

En 1372, Goncelin est clos de murailles dans lesquelles sont percées 4 portes « fermantes », en 1650, les murailles ont été détruites mais les portes sont demeurées présentes. La grande porte s’ouvrait sur la route du Cenoz, elle permettait l’accès vers Allevard, elle a été détruite en 1874. La porte Paillac fermait la place de la halle, près du prieuré, sur la place de l’église, elle permettait de se rendre sur la grande route et le pont de l’Isère.

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Tencin (Isère)

Le pont de Tencin a été construit sur l’Isère à proximité de la commune de La Terrasse, notamment pour faciliter l’accès à St Hilaire du Touvet. L’ordonnance royale autorisant la construction du pont a été publiée le 27 octobre 1846

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Villard-Bonnot (Isère)

Le musée de la houille blanche, sis à Lancey au-dessus de la papeterie fermée en septembre 2008, retrace l’histoire d’Aristide Bergès et de la conquête hydroélectrique dans les Alpes.

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Domène (Isère)

Le Prieuré

De la période agricole et religieuse de l’an 1000, Domène a hérité d’un magnifique prieuré bénédictin.

Dédiée aux Saints Pierre et Paul, cette église, jadis prieurale, est le seul monument du XI ème siècle encore debout en Isère.

L’édifice est classé au titre des monuments historiques depuis 1947. La visite des ruines permet de découvrir une partie des murs de l’église consacrée en 1054. La surélévation et le voûtement de la nef, datés du XIII ème siècle, se différencient nettement par l’emploi de la brique, caractéristique d’un mode architectural propre à la région. Plus d’informations sur le blog du Prieuré à l’adresse suivante : http://sauvegardedupatrimoinedomenois.over-blog.com

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Gières (Isère)

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La défaite de 1871 incite la France à multiplier les forts dans les régions frontalières, pour se protéger d’éventuelles invasions venues d’Allemagne ou d’Italie. Six forts sont notamment construits pour protéger Grenoble par des croisements de feux : Saint-Eynard, Bourcet, Comboire, Montavie, Quatre-Seigneurs et… le fort du Mûrier à Gières.

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Le premier réseau de tramway grenoblois a été créé en 1894 par les VFD (Voies ferrées du Dauphiné), compagnie privée devenue régie départementale en 1920. A l’embranchement des lignes Grenoble-Froges et Grenoble-Vizille, les VFD établissent en 1898 une gare dans un bâtiment ayant autrefois abrité les écuries de M. St-Ferréol, le rénovateur de la station thermale d’Uriage. La gare VFD devient un lieu d’animation de Gières, et le réseau connaît un fort trafic jusqu’à l’orée de la seconde Guerre mondiale, avant d’être peu à peu supplanté par l’autobus, qui représente alors l’avenir du transport en commun.

L’église saint-Marcel est constituée d’éléments datant des 14e ou 15e siècle, et elle a été fortement réparée et modifié en 1820 et 1877

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Vaulnaveys-le-Haut (Isère)

L’église St-Jean : Elle a toujours été commune aux deux paroisses de Vaulnaveys-le-Haut et Vaulnaveys-le-Bas. Elle dépend du prieuré depuis le XIIème siècle. Son clocher, qui date du XVème siècle, est une copie de celui de l’église St-André de Grenoble. C’est au XVIIIème siècle que le tuf remplaça le bois (1731). La première horloge y fut placée en 1721. Jusqu’en 1784, les personnalités importantes y furent inhumées. A l’intérieur, on remarque croix, reliquaire et boiseries du XVIIIème siècle ainsi que le maître-autel (1755) classé monument historique, que l’on suppose provenir de la Chartreuse de Prémol.

La chapelle de Belmont : Fondée en 1666 par François LAMBERT, secrétaire de l’évêque et placée sous le vocable de St-François de Sales. Sa cloche porte la date de 1670.
La Chartreuse de Prémol : ce nom vient du latin Pratis Mollis, le Pré Mou. Le monastère est aujourd’hui détruit. Il ne subsiste que deux bâtiments : la maison forestière et les ruines de la porterie, ravagée par un incendie en 1989.
Le moulin de la ville : Son existence remonte au XIVème siècle. Il est le dernier des six moulins signalés dès 1328 sur les torrents de Vaulnaveys. Il était banal, c’est-à-dire soumis à une redevance au seigneur moyennant laquelle son usage était public mais obligatoire pour les habitants. Il passa entre les mains de maints propriétaires avant de devenir en 1906 moulin syndical, puis, récemment d’être cédé à la commune. Totalement refait en 1900 après un violent incendie, seuls sont anciennes les meules de pierre qui proviennent des carrières de Quaix et qui datent de 1710.

Pré Gaudet : Superbe clairière d’environ un hectare située sous Chamrousse à 1420m d’altitude. Son nom vient de Godet, qui signifie, défriché par le feu.
Au siècle dernier, c’était l’une des promenades favorites du prince Alexandre BIBESCO, lors de ses séjours à Uriage.


Uriage : Cette station thermale a la particularité d’être partagée entre St-Martin d’Uriage et Vaulnaveys-le-Haut. Les eaux d’Uriage sont réputées depuis l’antiquité. Néanmoins, détruits au XIVème siècle, les thermes tombèrent dans l’oubli et c’est à un habitant de Vaulnaveys que revint l’honneur de les faire revivre. Il s’agit de Joseph BRUN, fermier des Alberges, domaine qui en 1750 appartenait aux dames de Prémol (puis après 1789 à la famille Perier de Vizille).

C’est lui qui le premier installa un hôtel aux Alberges pour les gens qui venaient éprouver l’effet purgatif des eaux, souillant d’ailleurs de leurs déjections les champs environnants, au grand dam des habitants.

Sous l’impulsion de Bernard BRUN, son fils, c’est en 1807 que furent donnés les premiers bains aux vertus cicatrisantes ou anti-rhumatismales. Ils étaient pris à la ferme dans des baignoires où on transportait l’eau de la source que l’on faisait chauffer dans des chaudières.

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Vizille (Isère)

Le château de  Vizille

Le château de Lesdiguières construit entre 1600 et 1619 est aujourd’hui Domaine départemental. Il forme, avec son parc de 100 hectares, un ensemble qui abrite le Musée de la Révolution française et un parc animalier où vivent en semi-liberté cerfs et daims ainsi qu’une pisciculture.
Réunie au château le 21 juillet 1788 par le Député Barnave, L’Assemblée des députés du Dauphiné signe le premier acte d’une ère nouvelle préfiguration des Etats Généraux de 1789. Vizille devient le  » berceau de la Révolution française « .

Musée de la Révolution Le Château, classé monument historique, fut construit entre 1600 et 1619 par François de Bonne, Duc de Lesdiguières. Devenu propriété de l’État en 1924, le bâtiment a servi de résidence d’été aux Présidents de la République. Cédé au Conseil Général de l’Isère en 1973, le château abrite aujourd’hui le Musée de la Révolution française. Présentées dans les salles du château, entièrement réaménagées, les collections regroupent un fonds important d’œuvres d’art (peintures, sculptures, estampes), d’arts décoratifs (céramiques anglaises et françaises, tapisseries, tissus, mobilier) et d’objets historiques (sabre de Kellerman, épée de Sieyès).
Salles d’expositions temporaires. Escalier des droits de l’homme et du citoyen. Salles du XIXe siècle, bibliothèque, salle du Centenaire, salles Périer, salle Lesdiguières.

Parc du Château Cent hectares de verdure s’étendent devant le château. Ponctué par un magnifique plan d’eau et de nombreux canaux, le domaine offre de larges possibilités de promenade. Le parc animalier abrite aujourd’hui de nombreuses espèces qui vivent en toute liberté dans le domaine. Des cygnes de Sibérie, des oies du Canada, des canards colverts mais aussi des hérons cendrés s’ébattent autour des étangs. Alors que cerfs, daims et chevreuils parcourent en toute quiétude les sentiers du parc.

En savoir plus sur le site de la commune / Sur wikipedia

Laffrey (Isère)

Statue équestre de Napoléon dans la « prairie de la Rencontre », au bord du lac de Laffrey. Installée à cet endroit depuis 1929. Auparavant,elle se trouvait au centre de Grenoble, sur la Place de la Constitution, rebaptisée Place de Verdun, après la Première Guerre mondiale.

Le village de Laffrey abritait une concession minière exploitant des affleurements de plombzinc sur un ensemble de 10 sites comportant des galeries, un puits de mine et différentes fouilles en surface se caractérisent par des tranchées de recherche.

Laffrey sur wikipedia / Site de la commune

Saint-Théoffrey (Isère)

Une église romane demeure à l’état de ruine. Cette église fut abandonnée dans la seconde moitié du 19e siècle. Le toit a disparu, la première travée de la nef et le mur sud ont presque complètement disparu. Par contre le mur nord est encore bien visible avec ses arcades murales avec entre des dosserets qui servait à reprendre la charge des arcs doubleaux de voûte. Au nord flanquant l’abside se trouvait un massif carré qui portait un petit clocher composé d’un unique étage ouvert sur chaque face avec une large baie orné par des colonnettes aux chapiteaux ouvragés. La nef, elle, est encore debout percée par une petite fenêtre éclairant l’autel, d’ailleurs l’emplacement de celui-ci est encore bien visible sur le sol.
Une chapelle fin XV siècl
e est visible dans le hameau de Petichet avec une jolie porte d’entrée et une fenêtre typique fin du gothique.

Olivier Messiaen musicien enterré au cimetière de la commune

Saint-Théoffrey sur wikipedia

Pierre-Chatel

Église St-Pierre

La Pierre Percée, rocher troué faisant partie des Sept merveilles du Dauphiné.


Pierre-Chatel sur wikipedia / Le site de la commune

La Mure (Isère)

L’Hôtel de ville Bâtiment de style Renaissance construit de 1891 à 1892 sur l’emplacement d’un vieil hôpital dont l’une des salles servait de mairie. Tous les blocs de pierre taillée proviennent des carrières de Versenat. Il abrite certaines des plus anciennes archives de l’Isère avec notamment une Charte rédigée par le Dauphin datant de 1309. L’architecte Jules Besson construira aussi l’hôpital en 1907. L’ancien mécanisme de son horloge est conservé au musée Matheysin.

Près de la fontaine, la sculpture « Grisou » du Murois Abel Chrétien rend hommage aux ictimes des mines, de Matheysine (d’où le grisou est absent) et d’ailleurs.
La Halle Elle fut édifiée pour la première fois en 1309 suite à la « Charte des Libertés » concédant aux habitants de La Mure certains droits dont celui « des Halles ». Elle abritait le marché, la boucherie et la grenette (négoce du grain). Incendiée à plusieurs reprises, elle fut toujours reconstruite au même endroit, et pour la dernière fois au 19e siècle.

Le château de Beaumont Humbert de Comboursier, Châtelain royal de La Mure le construit après 1450. Des quatre tours à créneaux et mâchicoulis, seule la tour sud-est date de cette époque. Sa chapelle, en cours de restauration, fut construite en 1845 quan les Soeurs de la Nativité convertissent le château en école de jeunes filles. Ce château est le dernier des trois figurés sur le blason de la ville : le château delphinal voisin et le château des Combursier (école des Capucins) ont disparu. Propriété municipale depuis 1906, le château de Beaumont abrite aujourd’hui 35 logements.

L’école des Capucins C’est la première École de Garçons créée par les moines Franciscains au XVIIe siècle sur les ruines du Château des Comboursier. Elle accueille aujourd’hui les enfants de 7 à 12 ans (école primaire).

Le lycée Edifice de Style Néo Renaissance dessiné par Séraphin Bianchi sous la municipalité Chion-Ducollet. Inauguré le même jour que le Chemin de fer de La Mure, le 24 juillet 1888. D’abord collège municipal de garçons, puis lycée en 1977, il propose un cycle général et technologique, ainsi qu’un cycle professionnel et une préparation au 1er degré de monitorat de ski alpin.

L’église Notre Dame de l’Assomption Érigée en 1890, elle s’élève à 60 m de hauteur. De style Néo-Roman, l’église a été construite en ciment moulé. Un tremblement de terre en 1962 l’a endommagée (la restauration est en cours).

Les chevalements des mines Prunières (Puits des Rioux) et du Puits du Villaret. Le puits des Rioux s’élève sur la commune de Prunières. Creusé en 1942 jusqu’à 400 m de profondeur, il s’appelait alors « Puits Henri de Renéville » en souvenir d’un des derniers propriétaires. Ce site a marqué la mémoire minière par deux catastrophes majeures : 8 morts le 16 janvier 1946 et autant le 04 mai 1971. Malgré sa fermeture en 1986, le chevalement est conservé.

Les 3 Croix Les Trois Croix ont été érigées en souvenir de l’existence de la Chapelle du Calvaire, construite sur l’ancienne citadelle protestante détruite pendant les Guerres de Religions en 1580. Le 7 mars 1815, Napoléon s’y arrêta avant la célèbre rencontre avec les troupes royales à Laffrey.

Le Beffroi Cette tour est élevée vers 1720 pour marquer l’heure et sonner le couvre-feu. Elle abrite une petite fontaine de la même époque. L’église St Pierre-Julien Eymard Cette chapelle était autrefois l’église paroissiale de La Mure. Son origine remonte au milieu du 11e siècle lorsqu’elle était incluse dans un prieuré bénédictin. Utilisés comme carrière de pierres au cours des guerres de religion, la nef et le clocher furent reconstruits vers 1606. Le sanctuaire a pris, en 1925, le nom du Bienheureux Père Pierre-Julien EYMARD, né et mort à La Mure (1811-1868), fondateur de la Congrégation du Saint-Sacrement. Il a été canonisé en 1962 par le Pape Jean XXIII.

Les quartiers des maisons des mines Cité des Bastions : construites de 1940 à 1950. Cité minière des Thénevaux construite de 1924 à 1926.

L’hôpital Ce n’est pas un hasard si le style, la composition et les matériaux de ce bâtiment évoque l’hôtel de ville. Les deux monuments sont l’oeuvre du même architecte : Jules Besson. Achevé en 1912 sous le dernier mandat de Chion-Ducollet, l’imposante bâtisse est ornée d’un fronton représentant « la vieillesse » et « la maladie » dues à Auguste Davin. Le tout est coiffé d’un élégant campanile.

Le Théâtre Théâtre classique dit « à l’Italienne », il dispense aux 400 spectateurs cinéma, théâtre ou concerts. La façade de ce bâtiment de 1933 a été revisitée par « La Cité de la Création » de Lyon.

La Maison Caral : le musée Matheysin Remontant au XIIe siècle (le château des Dauphins), cet ancien hôtel particulier du XVIIe siècle est l’un des plus anciens monuments de la ville. Aujourd’hui, le Musée Matheysin y déploie de magnifiques collections archéologiques, artistiques, artisanales et industrielles (la mine, le monde rural, la ganterie, les colporteurs…).

Voir le site de la Commune / La Mure sur wikipedia

La Salle-en-Beaumont (Isère)



Notre Dame de l’Assomption (construite en 1998 en remplacement de l’ancienne Eglise, détruite par un glissement de terrain)

Corps (Isère)


L’église paroissiale de Corps faisait partie d’un prieuré construit en 1212 par des moines bénédictins de Marseille, et dont il ne reste par ailleurs que le porche d’entrée face à l’église. De style roman, l’église a été ravagée en 1821 par un incendie qui a aussi détruit le presbytère et la plus grande partie du village d’alors ; elle a été restaurée en accord avec son style d’origine. Le clocher est de style gothique.

L’intérieur de l’église mérite la visite : l’abside, circulaire, est très dépouillée, et éclairée par une rangée de hauts vitraux, l’autel est en marbre blanc, richement décoré

l’absidiole droite comporte un petit vitrail circulaire représentant la Sainte Famille dans le transept, un vitrail représentant Saint Eldrade, patron de la paroisse

dans les allées latérales, deux statues de Notre-Dame de la Salette, dont une « Vierge en pleurs » (voir ci-contre) ; sur le sol, quelques dalles portent des inscriptions funéraires

de part et d’autre de l’entrée, deux bénitiers en marbre (modernes) portent des inscriptions en latin et en grec.

Corps sur wikipedia

Pellafol ( Isère)

Musée de PELLAFOL Ce petit musée est situé sur la commune de Pellafol, au centre du hameau « les Payas » dans une ancienne maison récemment rénovée. Elle s’appelle la Maison du Patrimoine. Cette maison a 8 pièces, 6 au rez-de-chaussée et 2 au premier étages. Ces 8 pièces expliquent le Patrimoine du canton de Corps et de Pellafol.

Saint-Disdier (Hautes-Alpes)

La chapelle des Gicons, dite « Mère Église », est classée monument historique depuis 1927. Cette petite église, dont la date de construction est inconnue (XIe ou XIIe siècle), et dont le surnom est d’origine inconnue (mère pour maire, principale ?), est de style roman, comportant une nef à trois travées en voûtes de plein cintre et une abside semi-circulaire, le tout flanqué d’une chapelle latérale surmontée du clocher et prolongée par une absidiole. Le bâtiment, plusieurs fois modifié, a été longtemps laissé à l’abandon. Il est actuellement en cours de restauration à l’instigation d’une association locale, et avec le soutien de la commune.

Saint-Disdier sur wikipedia

Saint-Étienne-en-Dévoluy (Hautes-Alpes)

découvrir le patrimoine du dévoluy (en partie évoqué dans les communes précédentes)

Le Noyer (Hautes-Alpes)

Le village est formé de nombreux hameaux ayant chacun son caractère propre, dont certains assez éloignés :

la Ville où se trouvent la mairie, l’église, et le « musée botanique Dominique Villars », l’un des pôles de l’écomusée du Champsaur ;le Martouret (ou Marthouret), où se trouve la salle communale, l’ancien bar-restaurant étant aujourd’hui fermé ;le Villard, avec la maison natale de Dominique Villars

Saint-Laurent-du-Cros (Hautes-Alpes)

Plusieurs éléments remontant à la période Gallo-romaine ont été mis au jour au hameau du Cros:

Un buste d’Hermès double de Jupiter Hamon ( symbole du musée de Gap ).

Une main funéraire à l’annuaire bagué.

Un bras d’enfant.

Trois fragments d’une jambe au pied chaussé d’une crépide.

La commune possède aussi un patrimoine religieux assez important :

Eglise paroissiale dédiée au saint de la commune construite à partir de 1878 à l’emplacement d’un ancien édifice ( mentionné dans le cadastre de 1836 ). L’édifice est formé d’un vaisseau à trois nefs ( la nef centrale étant prolongée par une travée de choeur et une abside semi-circulaire ouvrant sur la sacristie ) et d’un clocher tour éfilé et d’aspect imposant ( clocher dominant presque toute la commune ).

Chapelle Sainte-Marie-l’Egyptienne au hameau du Cros datant probablement de la seconde moitié du 19ème siècle à l’emplacement d’une chapelle du 18ème siècle et entourée d’un cimetière jusqu’à la moitié du 20ème siècle. L’édifice composé d’une nef unique et d’un charmant clocher tour, est orné à l’intérieur d’un beau tableau au-dessus de l’autel représentant Saint-Antoine agenouillé au pied de la croix ( oeuvre remontant à la seconde moitié du 19ème siècle, probablement à la suite de l’incendie qui détruisit une partie importante du hameau du Cros en 1881, depuis, une messe est célébrée chaque année au mois de janvier en souvenir de cet évènement tragique).

Chapelle Saint-Roch au hameau de Serre-Richard datant de 1837, à la suite d’une épidémie de choléra de 1835. Cette chapelle a été bénie en 1838.

( un des deux plus importants du département des Hautes-Alpes au chef-lieu de la commune, datant de 1886 ).

La commune possède trois fours : à Saint-Laurent, au Serre ( hameau du Cros ) et à Serre-Richard. Un quatrième a été détruit il y a plusieurs dizaines d’années au hameau du Cros ( à l’emplacement de la placette actuelle face à la fromagerie Ebrard ).

La commune compte aussi neuf oratoires et croix.

Quelques vestiges de l’ancien château seigneurial subsistent au Cros. Résidence entre autres du seigneur Martin, oncle de François de Bonne Duc de Lesdiguière.

Plusieurs témoignages de l’ancienne voie ferrée qui n’a jamais été terminée, dont le beau pont de la Bonne ( au nord du hameau du Cros, à la limite de la commune de Laye ) qui est actuellement en cours de restauration dans sa partie inférieure. Pour plus de renseignements voir l’article sur l’ancienne voie ferrée au Forest-Saint-Julien.

Saint-Laurent-du-Cros sur wikipedia

Gap (Hautes-Alpes)

La place Saint-Arnoux Elle doit son nom à Saint-Arnoux Evêque de Gap au XIème siècle


La cathédrale Notre-Dame de l’Assomption,  classée Monument Historique. La cathédrale fut construite de 1867 à 1905 sur les plans de l’architecte Charles Laisné qui a su harmoniser les styles roman-provençal et gothique des édifices antérieurs.Elle fut consacrée en 1895. Certaines des maisons situées derrière la cathédrale, place aux Herbes et place Gavotte sont les plus anciennes du centre ville.



La rue Colonel Roux,  la plus ancienne rue de Gap. C’était déjà la voie décumane,
artère principale du camp romain


La Place Jean Marcellin, Au Moyen Age elle s’appelait place Saint-Etienne

L’hôtel de ville La première maison communale fut construite en 1400 sur l’emplacement actuel de l’hôtel de ville.


La statue du baron Ladoucette Jean Charles François Ladoucette, baron ‘Empire fut le
deuxième préfet des Hautes Alpes.


La Rue de France Au numéro 17, une plaque commémore le passage de Napoléon


La Caserne Desmichels Elle fut construite au cours du XVIIIème siècle


L’Eglise des Cordeliers L’église reconstruite en 1725 futtransformée en grange à foin après la Révolution.


La rue Jean Eymar C’est une ancienne artère chargée d’histoire autrefois appelée Grande Charrière et où, depuis le Moyen Age

Le Musée Départemental et le Parc de la Pépinière En 1901, le projet de construire un musée à
l’emplacement actuel fut lancé

En savoir plus sur le site de Ville

***

Lire aussi :

Tour de France 2010 Classement général

L’histoire du Tour

Etapes précédentes

Travail en cours. La suite de l’étape dans quelques minutes. Merci de votre patience….


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perrin m-c
perrin m-c
7 janvier 2011 15 h 55 min

La pseudo restauraration de l’église de l’Assomption de la Mure a été une destruction du clocher remplacé par un toit en tôle ressemblant à un abri à charbon. Comment a-t-on pu laisser saccager le style et la flèche de cette église qui contribuaient au patrimoine culturel de la ville alors que d’autres églises( Monteynard) ont été restaurées en respectant leur architecture et certainement à des coûts raisonnables et justifiés? Désormais l’église de la Mure est le scandale de la Matheysine.